Crédit photo · Le DL/HD

Cafés mortels

En collaboration avec l'association Thanatosphère, basée sur Valence (26), je co-anime 1 fois par trimestre cet espace pour se rencontrer et partager nos histoires autour de la mort et du deuil, celles transmises de génération en génération, celles portées par les vivants, pour échanger de façon chaleureuse et sans tabou sur ce thème universel.

Comme le dit Bernard Crettaz, créateur des cafés mortels, "parlent ceux qui en ont envie, se taisent ceux qui préfèrent, et tous et toutes s’écoutent."

Le concept est né en 2004, pour nous permettre de renouer avec la tradition ancestrale des repas de funérailles, où les vivants resserraient leurs liens tout en lâchant ce qu’ils avaient sur le cœur.
L’objectif étant de pallier aux lacunes d’une société qui a chassé la mort des représentations et des discours, une société qui laisse bien souvent les endeuillé·es démuni·es et ne leur offre que peu d’espace où parler de leurs défunt·es, une société qui nous laisse souvent seul·es vis-à-vis de sa représentation intime de la mort.

Cafés mortels

Cafés Mortels

En collaboration avec l'association Thanatosphère, basée sur Valence (26), je co-anime 1 fois par trimestre cet un espace pour se rencontrer et partager nos histoires autour de la mort et du deuil, celles transmises de génération en génération, celles portées par les vivants, pour échanger de façon chaleureuse et sans tabou sur ce thème universel.

Comme le dit Bernard Crettaz, créateur des cafés mortels, "parlent ceux qui en ont envie, se taisent ceux qui préfèrent, et tous et toutes s’écoutent."
Le concept est né en 2004, pour nous permettre de renouer avec la tradition ancestrale des repas de funérailles, où les vivants resserraient leurs liens tout en lâchant ce qu’ils avaient sur le cœur.
L’objectif étant de pallier aux lacunes d’une société qui a chassé la mort des représentations et des discours, une société qui laisse bien souvent les endeuillé·es démuni·es et ne leur offre que peu d’espace où parler de leurs défunt·es, une société qui nous laisse souvent seul·es vis-à-vis de sa représentation intime de la mort.
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